LE PARC GUELL
J’ai eu la chance, il y a maintenant 4 ans, d’aller faire une visite de l’Espagne, de ses villes, lieux et monuments. A mon retour, j’eus le temps de réfléchir et remettre en ordre dans ma tête toutes les merveilles que nous avons pu admirer, une visite bien précise m’a marquée jusqu’à aujourd’hui , celle du Parc Guell. Ce parc n’est autre que la réalisation du fameux architecte catalan Antonio Gaudi. Situé à Barcelone, il fut érigé, malgré son aspect très contemporain, au début du 20ème siècle. Les constructions du parc : fontaines, murs et même bancs sont presque totalement recouverts de céramiques aux vives couleurs, faisant ressortir de ce lieu un onirisme à la fois fou, saugrenu et extravagant.
Je fus particulièrement marqué par l’entrée du parc : en effet, elle est composée de deux escaliers séparés par des arbustes et qui, quelques mètres plus loin, se rejoignent pour nous conduire vers la deuxième merveille de ce lieu : le fascinant dragon-fontaine. Couvert également de céramiques de récupérations, cet animal fantastique qui semble prêt à bondir à l’air de surveiller l’entrée du lieu.
L’étrangeté ne s’arrête pas la. De l’entré du parc encadrée par des bâtiments aux allures « Cendrionnesques », on peut observer derrière le dragon la présence de ce qui à première vu semble être un temple grec : le style gréco-romain est visible avec la présence de grandes colonnes, toutefois, la présence d’un toit aux formes ondulées permet de rompre avec ce style architectural classique pour entrer dans « l’univers Gaudi ». L’architecte catalan n’a tout de même pas lésiné sur ses références architecturales Grecques en donnant à cette salle le nom de « Salle Hypostyle ». Le projet initial de Gaudi étant de construire une ville comportant une soixantaine d’habitations et une église, la présence de commerces était vital, cette salle géante avait alors était construite dans le but d’accueillir un marché.
Ainsi, cette haute salle entourée par une allée de forme conique et construite à base de pierre de couleurs jaunes se voit être soutenue par 86 colonnes obliques qui avaient pour but de séparer les différents commerçants mais qui maintenant ont pour seul effet de surprendre les passants déjà ébahis…
Au furent et à mesure de cette visite, on est alors comme transporté dans ce cosmos à part d’où on peut voir le vrai monde d’une gigantesque terrasse tout aussi impressionnante et farfelue.
C'est donc après avoir été subjugué par cette architecture onirique et ses constructions fantastiques pleines de couleurs que le Parc Guell est devenu mon monument artistique de style contemporain de référence. Aussi, prônant un goût pour le littéraire et la poésie, cette expérience dans mon imaginaire a su assouvir mes désirs les plus proche de la rêverie.
Au furent et à mesure de cette visite, on est alors comme transporté dans ce cosmos à part d’où on peut voir le vrai monde d’une gigantesque terrasse tout aussi impressionnante et farfelue.
C'est donc après avoir été subjugué par cette architecture onirique et ses constructions fantastiques pleines de couleurs que le Parc Guell est devenu mon monument artistique de style contemporain de référence. Aussi, prônant un goût pour le littéraire et la poésie, cette expérience dans mon imaginaire a su assouvir mes désirs les plus proche de la rêverie.
Simon Seroussi
