LE CENTRE POMPIDOU.
Le Centre national d’art et de culture Georges Pompidou souvent appelé Centre Pompidou est un complexe culturel complexe réunissant des équipements variés comme une bibliothèque, des galeries d 'exposition mais également l'ancien atelier de Constantin Brancusi. Sa construction fut décidée en 1969 par Georges Pompidou qui venait juste d'être élu Président de la République suite à la démission de Gaulle. Depuis son inauguration en 1977, le centre a connu un vif succès et il a même du être agrandi en 1997 afin d'accroître sa capacité en visiteurs et en oeuvres à exposée.
Toutefois, en opposition avec cette réussite, de sa construction à nos jours ce grand musée d'art contemporain a été la cible de nombreuses critiques qui s'en prennent à l'architecte Renzo Piano et dénoncent la construction d'une “raffinerie de pétrole” en plein cœur de Paris. Il est vrai que le projet fini choque car il est articulé autour d'un principe de base qui est de reporter toutes les fonctions logistiques du bâtiment (canalisations, ascenseurs, gaines électriques) en extérieur sur les façades et surtout des les y laisser apparentes. Le bâtiment expose donc sans honte ses entrailles les plus intimes et semble exulter de montrer à la Ville Lumière toute entière tous les éléments cachés dans les constructions classiques.
Il s'agit donc d'une forme d'architecture décomplexée qui a su dépasser des codes esthétiques rigides pour mieux innover. Ce musée est bien comme il l'a toujours été pensé par les autorités un grand monument de l'architecture post-moderne. Il est représentatif d'une partie des problématiques architecturales de l'époque auxquelles il prétend répondre par la déconstruction c'est à dire la suppression du superflu dans le bâti. Cela est reflété dans les mots même de l'architecte qui déclare avoir voulu par ce processus architectural étrange pouvoir consacrer l'intégralité de l'intérieur à l'exposition.
Ce projet a pris une place toute particulière dans la trame urbaine parisienne du fait que l'orientation nord-sud prend en compte les axes parisiens environnants à savoir le boulevard de Sébastopol, la rue Saint-Merri et la rue du Renard. En privilégiant une structure compacte et ramassée les architectes ont de plus pu inclure devant la façade du musée une vaste esplanade qui facilite la transition entre le bâti classique du 1er arrondissement et la modernité du Centre. Ainsi la construction d'un complexe bibliothèque-musée d’art contemporain à Paris a abouti à la création d'un espace convivial où de nombreux Parisiens aiment se retrouver pour boire un café ou manger une crêpe. C'est dans une grande réussite car allier loisirs et culture est un des meilleurs moyens de promouvoir cette dernière.
Theo Maligeay
Toutefois, en opposition avec cette réussite, de sa construction à nos jours ce grand musée d'art contemporain a été la cible de nombreuses critiques qui s'en prennent à l'architecte Renzo Piano et dénoncent la construction d'une “raffinerie de pétrole” en plein cœur de Paris. Il est vrai que le projet fini choque car il est articulé autour d'un principe de base qui est de reporter toutes les fonctions logistiques du bâtiment (canalisations, ascenseurs, gaines électriques) en extérieur sur les façades et surtout des les y laisser apparentes. Le bâtiment expose donc sans honte ses entrailles les plus intimes et semble exulter de montrer à la Ville Lumière toute entière tous les éléments cachés dans les constructions classiques.
Il s'agit donc d'une forme d'architecture décomplexée qui a su dépasser des codes esthétiques rigides pour mieux innover. Ce musée est bien comme il l'a toujours été pensé par les autorités un grand monument de l'architecture post-moderne. Il est représentatif d'une partie des problématiques architecturales de l'époque auxquelles il prétend répondre par la déconstruction c'est à dire la suppression du superflu dans le bâti. Cela est reflété dans les mots même de l'architecte qui déclare avoir voulu par ce processus architectural étrange pouvoir consacrer l'intégralité de l'intérieur à l'exposition.
Ce projet a pris une place toute particulière dans la trame urbaine parisienne du fait que l'orientation nord-sud prend en compte les axes parisiens environnants à savoir le boulevard de Sébastopol, la rue Saint-Merri et la rue du Renard. En privilégiant une structure compacte et ramassée les architectes ont de plus pu inclure devant la façade du musée une vaste esplanade qui facilite la transition entre le bâti classique du 1er arrondissement et la modernité du Centre. Ainsi la construction d'un complexe bibliothèque-musée d’art contemporain à Paris a abouti à la création d'un espace convivial où de nombreux Parisiens aiment se retrouver pour boire un café ou manger une crêpe. C'est dans une grande réussite car allier loisirs et culture est un des meilleurs moyens de promouvoir cette dernière.
Theo Maligeay
